«L'Antigone de Sophocle, lue et relue et que je connaissais par cour depuis toujours, a été un choc soudain pour moi pendant la guerre, le jour des petites affiches rouges. Je l'ai réécrite à ma façon, avec la résonance de la tragédie que nous étions alors en train de vivre». Jean Anouilh.
|